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Aujourd'hui 26 juin est le 177e jour de l'année qui prendra fin dans 188 jours

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Don Bosco

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1815 - 1888

Jean Jaurès ,

(homme politique Français)

  Citation du Jour

  “Il ne faut avoir aucun regret pour le passé, aucun remords pour le présent, et une confiance inébranlable pour l’avenir.”

Un Jour comme Aujourd'hui :

Tous les évènements qui se sont déroulés un 26 juin en Haïti et dans le Monde

Crédit: Isere-Annuaire

Source: isere-annuaire.com

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Ismé Jean Marie

Les évènements qui se sont déroulés un 26 juin en Haïti et dans le Monde

Un Jour                  

Comme Aujourd'hui

En Haïti :

1945. Haiti signa la charte émanant de la Conférence de San Francisco:

Durant une conférence tenue à San Francisco dans l’Etat de Californie [USA] du 25 avril au 26 juin 1945,

et réunissant des délégués de cinquante pays représentant environ 80% de la population du globe à l’époque, une charte devant marquer le prélude à la création des Nations-Unies fut rédigée, adoptée à l’unanimité et signée par tous les délégués. Haiti fut représentée à cette conférence par Gérard E. Lescot, Vely Thébaud, Général Alfred Nemours, André Liautaud. Mr. Gérard E. Lescot y apposa sa signature au nom d’Haiti.

2018. Décès d’Henri Namphy en République Dominicaine:

Né le 2 novembre 1932 à la Grande Rivière du Nord, Henri Namphy gravit tous les échelons les Forces Armées d’Haïti (FAdH) jusqu’à devenir général.

Le 7 février 1986, au départ de Jean-Claude Duvalier, il devint le président du Conseil National de Gouvernement, une junte civilo-militaire avant de remettre, le 7 février 1988, le pouvoir à Leslie Manigat après une élection présidentielle bidon. Ce dernier l’obligea à prendre sa retraite, mais il revint au pouvoir à la suite du coup d’état du 20 juin 1988. Le 17 septembre de la même année, Namphy prit le chemin de l’exil après un coup des soldats et sous-officiers de l’armée au profit de Prosper Avril et ne remit jamais plus les pieds en Haiti. Souffrant d’un cancer au poumon gauche il expira à Jarabacoa, en République Dominicaine.

Gloria Macapagal Arroyo

Laurent Lantieri

Henry Namphy

Gloria Macapagal Arroyo

Laurent Lantieri

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d'Histoire

26 Juin 1993

Le président Clinton punit l’Irak pour son complot visant à tuer George H.W. Bush

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Le 13 avril 1993, la veille de la visite prévue de George Bush au Koweït et d’être honoré pour sa victoire dans la guerre du golfe Persique, les autorités koweïtiennes ont déjoué un complot de voiture piégée visant à l’assassiner.

Quatorze suspects, pour la plupart des ressortissants irakiens, ont été arrêtés et, le lendemain, leur énorme voiture piégée a été découverte à Koweït City.

Citant des « preuves convaincantes » de l’implication directe des services de renseignement irakiens dans la tentative d’assassinat, le président Clinton a ordonné une attaque de représailles contre leur siège présumé dans la capitale irakienne le 26 juin.

Vingt-trois missiles Tomahawk, chacun coûtant plus d’un million de dollars, ont été tirés sur l’USS Peterson en mer Rouge et le croiseur USS Chancellorsville dans le golfe Persique, détruisant le bâtiment et, selon les récits irakiens, tuant plusieurs civils.

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Regard Amérique :

«Ils ont menti sous serment» : vive controverse aux États-Unis après la décision des juges de la Cour suprême sur le droit à l'avortement

Source: France  24

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Olivier Jean Luckner

Chacha

Regard       

Amérique

«Ils ont menti sous serment» : vive controverse aux États-Unis après la décision des juges de la Cour suprême sur le droit à l'avortement

DÉCRYPTAGE - Trois juges nommés par Donald Trump se voient accuser par de nombreux Américains d'avoir menti sur leurs intentions lors de leur audition au Sénat.

«They lied under oath» : depuis vendredi, de nombreux Américains favorables au droit à l'avortement accusent trois des juges de la Cour suprême d'avoir «menti sous serment», lors de leur audition par le Sénat au moment leur nomination. Il s'agit plus précisément des trois derniers juges à avoir rejoint la Cour, trois conservateurs nommés sous la présidence de Donald Trump : Neil Gorsuch, Brett Kavanaugh et Amy Coney Barrett. Selon leurs accusateurs, tous trois auraient fait croire qu'ils ne reviendraient jamais sur l'arrêt Roe v. Wade, qu'ils viennent pourtant de contribuer à abroger.

Les déclarations auxquelles il est fait référence sont celles tenues par chacun de ces trois juges au moment de leur audition par les sénateurs («confirmation hearing»). Selon la Constitution américaine, c'est en effet le président des États-Unis qui nomme, à vie, chaque nouveau juge de la Cour dès lors qu'un siège est vacant ; mais cette nomination doit être confirmée par un vote du sénat, précédé donc d'une audition du candidat qui s'engage sous serment à répondre la vérité aux sénateurs. Au cours de cette audition, le sujet de l'avenir de Roe v. Wade a été évoqué à chaque fois, et même assez longuement, avant la nomination des juges conservateurs qui composent l'actuelle Cour suprême, et en particulier les trois juges nommés par Trump. Même la sénatrice Susan Collins, pourtant membre du parti républicain, a estimé que la décision prise vendredi par la Cour était «incohérente avec les déclarations faites par les juges Kavanaugh et Gorsuch lors de leur témoignage devant le sénat ainsi que les échanges» qu'elle affirme avoir eu avec chacun d'eux.

Mais à vrai dire, la relecture précise des propos tenus sous serment par les juges devant le sénat montre qu'ils ont volontairement éludé la question, et ne se sont pas engagés à maintenir le droit constitutionnel à l'IVG, comme le montre notamment le New York Times qui a exhumé pour l'occasion le script précis de leurs auditions respectives.

Amy Coney Barrett : «je suivrai la loi»

Dernière arrivée à la Cour, la juge Amy Coney Barrett n'a jamais caché, avant sa nomination, ses positions anti-avortement - c'est d'ailleurs ce qui avait valu à cette fervente catholique l'hostilité du camp démocrate.

En octobre 2020, elle avait volontairement refusé de dire aux sénateurs ce qu'elle ferait au cas où la Cour serait amenée à examiner un cas remettant en cause l'avortement comme un droit fédéral et constitutionnel. Sa réponse avait été énigmatique : «Je promets de suivre ce que dit la loi, quelle que soit la décision à prendre, qu'il s'agisse de l'avortement ou d'autre chose».

Là est peut-être l'ambiguïté : en droit, l'expression latine «stare decisis» (qui signifie «s'en tenir à ce qui a déjà été décidé») est un adage selon lequel une décision prise précédemment par des juges doit être appliquée ultérieurement de la même manière.

C'est précisément ce qui s'est passé avec l'arrêt pris vendredi. Les juges ont majoritairement estimé que la décision Roe v. Wade avait mal interprété la Constitution, et que celle-ci n'implique pas la reconnaissance d'un droit fédéral à l'IVG. Ce raisonnement s'appuie sur une tradition dite «originaliste» en droit américain : le fait de s'en tenir au texte strict de la Constitution, et de l'intention des pères fondateurs qui l'ont rédigée.

Brett Kavanaugh : «Roe v. Wade est un précédent important»

Lors de son audition en septembre 2018, Brett Kavanaugh a lui aussi pris soin de ne pas s'engager à maintenir un droit fédéral à l'avortement.

Interrogé à ce sujet, il s'est contenté de rappeler que la décision Roe v. Wade est une décision importante de la Cour suprême et qu'elle a été confirmée à plusieurs reprises depuis 1973. «C'est un précédent important de la Cour suprême, qui a été souvent réaffirmé», a-t-il dit, invoquant lui aussi la notion de «stare decisis».

Neil Gorsuch : «Les opinions personnelles d'un juge n'ont pas à parasiter son travail»

Confirmant lui aussi que Roe v. Wade constitue un précédent important à ses yeux dans les décisions de la Cour suprême, réaffirmé à plusieurs reprises depuis, Neil Gorsuch a alors soutenu qu'«un bon juge doit regarder cet arrêt comme n'importe quel autre précédent de la Cour».

En somme, les propos des trois juges étaient volontairement peu clairs, résume la spécialiste du droit constitutionnel américain Anne Deysine*: «ils ont tous trois refusé de reconnaître le statut de 'super précédent' à la décision Roe v. Wade de 1973», mais affirmé tout de même, en réponse à la question de la sénatrice Susan Collins, «que la décision Roe v. Wade était du droit bien établi, 'settled law'».

Crédit: RFI

Kavanaugh

Gorsuch

Barrett

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Capsule Science :

Découverte d’une méga-bactérie en Guadeloupe, la plus grande jamais découverte

Source:

sciencenews.org

Recherche:

Joseph Jean Eddy

Découverte d’une méga-bactérie en Guadeloupe, la plus grande jamais découverte

Capsule       

Science

Une méga-bactérie vient d’être découverte et elle est tellement grande que l’on peut la voir à l'œil nu puisqu’elle mesure jusqu'à deux centimètres de long, un record pour une bactérie, la plus grande et de très loin jamais découverte. C'est en Guadeloupe qu'elle a été dénichée, et cela fait l'objet d'un article dans la prestigieuse revue Science, car au-delà de sa taille, c’est aussi son fonctionnement qui intrigue.

Comment la bactérie Thiomargharita Magnifica a-t-elle pu passer inaperçue toutes ces années alors qu'elle est littéralement visible à l'œil nu ? Cette méga-bactérie ressemble à de longs filaments blancs posés sur les feuilles en décomposition dans l'eau de la mangrove de Guadeloupe.

Repérée pour la première fois il y a une dizaine d'années, c'est le temps qu'il a fallu pour s'assurer qu'il s'agissait bien d'une bactérie, car cela semblait impossible de prime abord. Elle est tellement grande par rapport à ses congénères que c'est comme si on rencontrait un humain haut de plusieurs kilomètres.

Et pourtant, c'est bien réel, il s'agit bien d'un organisme unicellulaire, une seule cellule, tellement imposante que cette bactérie a dû développer quelques innovations. Son matériel génétique par exemple : chez les autres, il flotte librement à l'intérieur alors que chez Thiomargharita Magnifica, c'est l'inverse, il est bien rangé dans des membranes. Cela n'a l'air de rien, mais c'est du jamais vu chez une bactérie, une rareté qui pose des questions aussi grandes qu'elle.

Journée d'Anniversaire :

Il est né un .. Juillet: notre camarade et frère:

....

                                 , "...."